Titre : |
Le peuple de la brume |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
José Eduardo Agualusa (1960-....), Auteur ; Dominique Nédellec (1973-....), Traducteur |
Editeur : |
Genève : la Joie de lire, DL 2018 |
Collection : |
Encrage |
Description : |
1 vol. (209 p.) |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN : |
978-2-88908-418-0 |
Prix : |
14,90 EUR |
Note générale : |
Diffusé en France
Bibliogr.,1 p. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Portugais (por) |
Résumé : |
Lorsque les eaux se sont mises à recouvrir l'ensemble des continents, les hommes se sont empressés de construire tous types d'engins volants pour fuir la terre et vivre dans les airs. Le déluge advenu, seul 1 % de la population est parvenu à s'envoler. Dix ans plus tard, il n'y a plus que deux millions d'humains vivant à bord de dirigeables, de ballons et autres radeaux volants. Les pays ont disparu, mais les villes existent encore. Seulement, « la toponymie est devenue mobile ». Le narrateur, Carlos Benjamin Tucano, est âgé de seize ans ; il est né dans un de ces « villages » flottants, Luanda, agrégat d'environ trois cents radeaux. Suite à la disparition tragique de son père, Carlos part à sa recherche, en « navigateur solitaire ». Aventures et rebondissements s'enchaînent alors à un rythme trépidant
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Le peuple de la brume [texte imprimé] / José Eduardo Agualusa (1960-....), Auteur ; Dominique Nédellec (1973-....), Traducteur . - Genève : la Joie de lire, DL 2018 . - 1 vol. (209 p.) ; 21 cm. - ( Encrage) . ISBN : 978-2-88908-418-0 : 14,90 EUR Diffusé en France
Bibliogr.,1 p. Langues : Français ( fre) Langues originales : Portugais ( por)
Résumé : |
Lorsque les eaux se sont mises à recouvrir l'ensemble des continents, les hommes se sont empressés de construire tous types d'engins volants pour fuir la terre et vivre dans les airs. Le déluge advenu, seul 1 % de la population est parvenu à s'envoler. Dix ans plus tard, il n'y a plus que deux millions d'humains vivant à bord de dirigeables, de ballons et autres radeaux volants. Les pays ont disparu, mais les villes existent encore. Seulement, « la toponymie est devenue mobile ». Le narrateur, Carlos Benjamin Tucano, est âgé de seize ans ; il est né dans un de ces « villages » flottants, Luanda, agrégat d'environ trois cents radeaux. Suite à la disparition tragique de son père, Carlos part à sa recherche, en « navigateur solitaire ». Aventures et rebondissements s'enchaînent alors à un rythme trépidant
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Le peuple de la brume
de José Eduardo Agualusa
la Joie de lire, DL 2018, 1 vol. (209 p.) (Encrage)
Lorsque les eaux se sont mises à recouvrir l'ensemble des continents, les hommes se sont empressés de construire tous types d'engins volants pour fuir la terre et vivre dans les airs. Le déluge advenu, seul 1 % de la population est parvenu à s'envoler. Dix ans plus tard, il n'y a plus que deux millions d'humains vivant à bord de dirigeables, de ballons et autres radeaux volants. Les pays ont disparu, mais les villes existent encore. Seulement, « la toponymie est devenue mobile ». Le narrateur, Carlos Benjamin Tucano, est âgé de seize ans ; il est né dans un de ces « villages » flottants, Luanda, agrégat d'environ trois cents radeaux. Suite à la disparition tragique de son père, Carlos part à sa recherche, en « navigateur solitaire ». Aventures et rebondissements s'enchaînent alors à un rythme trépidant
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Agualusa José Eduardo.
Le peuple de la brume.
la Joie de lire, DL 2018, 1 vol. (209 p.).
(Encrage).
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